Au Pays d'Orphée et des Fées
CORINNE SAUFFIER LIVRES
D’origine grecque, Corinne Sauffier est professeur de Français en lycée professionnel à Montpellier. Après de nombreux recueils de poésie, des ouvrages sur la Grèce légendaire et mythologique, des pièces de théâtre jouées par ses élèves, elle nous transmet ce récit passionné transmis par son père, (formidable conteur), « Mon père me racontait Alexandrie » sur une ville « paradis perdu ».
A paraitre bientôt à Editions Le Livre Actualité.
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Recueil « POLYPHONIES », Editions les Ecrivains, 2001
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Recueil « SOLEIL DES CYCLADES », Amour en mer turquoise, Editions Plumens, 2005
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Ouvrage collectif « HARMONIE 2 », Editions IN OCTAVO, 2006
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Essai poétique « COURTISANE SACREE », Traité de volupté et d’éloquence, Editions Persée, 2007
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Recueil « HARMONIE DES SPHERES », Rencontre avec le poète ami, Editions Encres Vives, 2007
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Récit « LE FRISSON DES DIEUX », Mon voyage à Rhodes, Editions Amalthée, 2010
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Récit à paraître, « MON PERE ME RACONTAIT ALEXANDRIE, Le récit de ma diaspora
Dans le recueil, "Soleil des Cyclades", je célèbre l'amour fou dans une île grecque cela va de soi.
Eros décoche ses flèches avec d'autant plus d'entrain lorsque la mer turquoise reflète le ciel ardoise.
Les mots chantent sur la crique cristal et les dieux descendent de l'Olympe pour célébrer les noces de sel et de mercure de l'alchimie des mots nommée Poésie.
Préambule pour un nouveau romantisme
PREAMBULE Soleil des Cyclades
Dans ce monde gypseux surnage le sentiment…
Depuis la nuit des temps, l’amour est la « fin suprême » !
Depuis toujours, je veux cueillir des ophrys et regarder le soleil !
Dans les framées et les ramées, on se moque des romantiques, des zélateurs de l’amour infini… La tiédeur environnante rassure. Il faut rester dans la médiane sphère !
Dans ce recueil, je veux rendre hommage à tous les dandys de l’amour !
Tous ceux qui voyagent, leur cœur gibbeux, au sein de paysages fluorescents, entre réel et idéal, donnant l’impression de s’enfoncer à jamais dans une nuit éternelle, remportent cependant tous mes suffrages !
Nous restons toujours prisonniers des reflets et de quartzeux préceptes !
Les romantiques, dit-on, larmoient et ondoient… Ils aiment plus l’amour que l’être aimé !
Que de fausses représentations, de renoncements et d’invraisemblances !
Sur une île des Cyclades qui ressemble à un théâtre d’Epidaure, entre désolation et prose cadencée, j’ai pensé au fameux vers de Lamartine, (« L’homme est un dieu tombé qui se souvient des cieux ! »)…
J’ai brossé sous un ciel de nacre, les dramaturgies de l’amour infini…